Ganymède

Définition

Joshua J. Mark
par , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié sur 23 juin 2021
Disponible dans d'autres langues: Anglais, Espagnol
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Zeus & Ganymede (by Egisto Sani, CC BY-NC-SA)
Zeus et Ganymède
Egisto Sani (CC BY-NC-SA)

Ganymède est un jeune homme de la mythologie grecque qui fut enlevé par Zeus en raison de sa grande beauté et amené sur le mont Olympe pour servir d'échanson. L'histoire apparaît pour la première fois dans l'Iliade d'Homère sans aucune suggestion d'un lien sexuel, mais Ganymède fut ensuite associé aux relations homosexuelles masculines et à la passion homoérotique.

Le mythe tel qu'il est raconté par Homère (8e siècle av. JC) raconte simplement comment les dieux reconnurent la beauté de Ganymède et l'amenèrent à l'Olympe pour être l'échanson de Zeus. Au 6e siècle av. JC, cependant, l'histoire fut présentée comme celle d'un Zeus tombant amoureux de Ganymède et le prenant pour amant. Le dramaturge de la tragédie grecque Sophocle (l. c. 496 - c. 406 av. JC), parmi d'autres dramaturges et poètes du Ve siècle, mentionna Ganymède et Zeus en tant qu'amants et développa l'élément romantique-érotique déjà établi, ce qui conduisit finalement le couple à devenir l'archétype de la relation amant-aimé de même sexe représentée sur les tasses, les assiettes et les cratères (cruches à vin) dans la Grèce antique et, plus tard, à Rome.

L'ENLÈVEMENT DU JEUNE N'EST ASSOCIÉ À un TYPE DE RELATION ROMANTIQUE OU ÉROTIQUE QUE bien PLUS TARD.

Ganymède est resté un sujet populaire dans les arts et est associé à la constellation du Verseau car il aurait renoncé à sa position privilégiée d'échanson pour donner les eaux des dieux à l'humanité, devenant ainsi le porteur d'eau et le bienfaiteur des mortels. À différentes époques de l'histoire, il en est venu à représenter différentes valeurs reflétant celles de la majorité dans une société donnée, mais de nos jours, il est plus étroitement identifié à la communauté LGBTQ+, qui se concentre sur l'amour exprimé par le couple et le sacrifice par Ganymède de sa position privilégiée pour bénéficier aux autres et maintenir la paix entre les dieux.

Le monde du mythe

Le monde homérique dans lequel le mythe apparaît pour la première fois était présidé par de puissantes divinités qui maintenaient leur propre vision et définition de l'ordre, qui pouvaient parfois sembler en désaccord avec celles du peuple. L'enlèvement d'un jeune homme contre sa volonté aurait été considéré comme un acte criminel dans la société grecque, quelle que soit la cité-état dans laquelle il se serait produit, mais lorsqu'un dieu commettait ce crime, il était pardonné et le geste était compris comme s'étant produit pour une raison bien précise. En décrivant le monde homérique, l'expert Émile Mireaux note:

Le monde est en effet une société d'entités vivantes, qui habitent la terre, la mer et le ciel et sont en même temps indiscernables d'eux. Ces créatures sont-elles d'origine divine? La réponse est oui, dans une certaine mesure, mais le degré de leur divinité est une qualité variable et indéterminée, car toutes ne sont pas immortelles. De plus, il s'agit d'une société organisée en hiérarchie très semblable aux groupes humains, semblable dans la mesure où elle est également désordonnée et turbulente; déchirée par les dissensions, les passions, la jalousie et la compétition...L'homme de l'âge homérique, du moins l'homme pensant, a son être en contact intime et constant avec cette société divine ou semi-divine. Marcher sur la terre, se baigner dans les eaux, c'est avoir ce contact... L'homme a le sentiment ou la perception de la visite des dieux, même des plus grands d'entre eux. (24-25)

Les mythes grecs comprennent de nombreuses histoires de personnes rencontrant ou étant enlevées par une divinité. La déesse de l'aube, Éos, enleva, à elle seule, un certain nombre d'hommes pour son plaisir, et, bien sûr, les dieux pouvaient aussi enlever d'autres dieux comme dans le cas d'Hadès et de Perséphone. L'histoire de Ganymède, telle qu'elle apparaît dans l'Iliade, est une autre histoire d'enlèvement:

Tros eut trois fils vaillants, Ilos, Assaracos, et le divin Ganymède, qui fut le plus beau de tous les hommes : les dieux l’enlevèrent pour être l’échanson de Zeus, et, à cause de sa beauté, le placèrent au rang des immortels. (20.232)

Ganymede & Eagle
Ganymède et l'aigle
Mark Cartwright (CC BY-NC-SA)

Dans ce passage, il n'est pas fait mention de l'âge de Ganymède ni de l'intérêt particulier que Zeus lui-même portait au jeune homme (bien que cela changea par la suite et qu'à l'époque de la Renaissance, Ganymède fut parfois représenté comme un enfant ou un nourrisson). Les dieux décidèrent de l'emmener sur l'Olympe en raison de sa grande beauté qu'ils voulaient préserver en le rendant immortel. Ce même thème est conservé par les auteurs ultérieurs mais il est rejoint par l'engouement de Zeus pour Ganymède et leur relation amoureuse. Théognis, qui écrit au VIe siècle av. JC, en est un exemple précoce :

Il y a un certain plaisir à aimer un jeune homme, puisqu'une fois en fait, même Zeus, le fils de Cronos, roi des immortels, s'éprit de Ganymède, le saisit, l'emporta sur l'Olympe, et le rendit divin, pour garder l'efflorescence de la jeunesse. (Fragment 1.1345)

Homère lui-même ne présenta pas explicitement les relations homosexuelles mais, dans le cas de couples tels qu'Achille et Patrocle, il fournit suffisamment de détails pour que la nature du lien entre les deux hommes soit claire. Dans le cas de Ganymède, cependant, l'enlèvement du jeune homme ne fut associé à un type de relation romantique ou érotique que bien plus tard. Il est possible, bien sûr, qu'un public antique ait compris le passage d'Homère comme faisant allusion à une relation homosexuelle dès le début, mais cela n'est pas certain. Au 6e siècle av. JC, cependant, cela semble avoir été la compréhension de l'histoire la plus commune.

Le mythe de Ganymède

Si l'on en croit le nombre de fois et le large éventail d'auteurs qui font référence à ce récit, celui-ci dut être très populaire. Il n'existe pas de version unique de l'histoire jusqu'à ce qu'elle ne soit reprise par l'écrivain romain Ovide (l. 43 av. JC - 17 ap. JC), mais chaque auteur entre Homère et Ovide semble faire référence à la même histoire, qui diffère pourtant de celle d'Homère.

Le mythe raconte l'histoire de Tros, fondateur de la ville de Troie, et de ses trois fils, beaux et sans défaut, dont Ganymède, le plus jeune et le plus beau. Un jour, alors qu'il gardait ses troupeaux sur le mont Ida, il est aperçu par Zeus qui, sous la forme d'un aigle, l'attrape et l'emporte dans l'Olympe. Une fois sur place, Ganymède devient le jeune amant et l'échanson de Zeus, remplaçant Hébé, déesse de la jeunesse, qui occupait le poste d'échanson. Héra, reine des dieux, épouse de Zeus et mère d'Hébé, est furieuse de ce nouvel arrivant et, dans certaines versions ultérieures, lui cause divers problèmes à la cour. Ganymède, se rendant compte des problèmes qu'elle pourrait lui causer ainsi qu'à tous les autres membres de la cour, et cherchant un moyen pour que Zeus le libère, et en même temps souhaitant aider les habitants de la terre, verse l'eau des dieux pour les mortels. Zeus réalise qu'il a mal traité le jeune homme, ainsi que le père du garçon, et place Ganymède dans les cieux sous la forme de la constellation du Verseau tout en récompensant Tros avec des chevaux divins. Ganymède devient le porteur d'eau de l'humanité, Hébé reprend son rôle d'échanson pour Zeus, et Héra est apaisée pour le moment jusqu'à la prochaine escapade de Zeus.

Zeus carrying Ganymede
Zeus portant Ganymède
Carole Raddato (CC BY-NC-SA)

C'est la forme de base du conte, mais les différentes versions incluent des détails variés. Dans certaines versions, Zeus envoie un aigle géant pour enlever le jeune homme, dans d'autres, il apparaît lui même en tant qu'homme. Dans certaines versions, Ganymède semble n'avoir que 12 ans, dans d'autres, il peut avoir environ 16 ans. Héra ne met pas toujours à exécution son désir de rendre la vie de Ganymède impossible, et Hébé ne reprend pas toujours son poste d'échanson. Toutes les versions semblent cependant s'accorder sur la relation romantique et sexuelle de Zeus avec Ganymède. Certaines sources critiquent cette relation spécifique, mais la plupart considèrent les relations homosexuelles comme parfaitement naturelles, conformément à l'éthique du monde homérique et à l'acceptation de ce qui, aujourd'hui, serait défini comme des relations homosexuelles dans la Grèce des VIe et IVe siècles avant notre ère.

L'amant et le bien-aimé

À cette époque, ainsi qu'avant et après, les relations homosexuelles étaient considérées comme une expression parmi d'autres de l'attirance romantique et sexuelle. Il n'y avait aucune distinction entre une relation homosexuelle et une relation hétérosexuelle, car ces concepts n'existaient pas. Les relations homosexuelles faisaient partie du paysage culturel mais, dans la plupart des cas, elles n'étaient pas considérées d'un œil critique. L'universitaire Anthony Everitt note:

Les hommes ne se catégorisaient pas comme homosexuels car, jusqu'aux inventions de la psychologie moderne, il n'existait aucun concept, et donc aucun terme, pour la préférence sexuelle d'homme à homme comme alternative viable et exclusive à l'hétérosexualité. (241)

La forme la plus courante de ces relations était celle d'un amant plus âgé (erastes) et d'un bien-aimé plus jeune (eromenos), fondée sur l'amitié (philia), qui comportait également une composante sexuelle. Les auteurs ultérieurs interprétèrent l'histoire de Ganymède dans ce sens, Ganymède étant le bien-aimé qui s'améliore grâce à l'affection et aux soins de Zeus, l'amant plus âgé. Cependant, tout le monde n'interpreta pas l'histoire de la même manière, et certains des écrivains les plus connus de la Grèce antique soit rejetèrent complètement cette vision du mythe, soit y adhérèrent plus tard dans leur vie.

Ganymede Playing with a Hoop & Rooster
Ganymède jouant avec un cerceau et un coq
Metropolitan Museum of Art (Copyright)

Xénophon (430 - c. 354 av. JC), par exemple, affirmait que Ganymède était admiré par Zeus pour ses capacités intellectuelles et qu'il n'y avait aucune attirance physique ni aucune connotation sexuelle dans leur relation. Platon (c. 428/427 - 348/347 av. JC), qui reconnaît initialement une relation amoureuse entre le dieu et le jeune dans son dialogue du Phèdre (255), se rétracte de cette position et fait volte-face dans son dialogue beaucoup plus tardif des Lois, où il reproche aux Crétois d'avoir " inventé " les relations homosexuelles et justifie cette pratique par le mythe de Ganymède:

De quelque façon qu'il faille envisager cette sorte de plaisir, soit en badinant, soit sérieusement, il faut songer que c'est à l'union de la femelle et du mâle en vue de la génération que la nature a attaché ce plaisir, et que l'union des mâles avec les mâles et des femelles avec les femelles va contre la nature et que cet audacieux désordre vint d'abord de leur impuissance à se maîtriser dans le plaisir. Tout le monde accuse les Crétois d'avoir inventé la fable de Ganymède. Persuadés que leurs lois venaient de Zeus, ils ont imaginé cette fable sur son compte afin de pouvoir eux aussi goûter ce plaisir à l'exemple du dieu. (636c)

Il n'y a pas plus de preuves que le mythe de Ganymède provienne de Crète que d'ailleurs, mais les remarques de Platon sont intéressantes car elles expriment le point de vue d'un poète-philosophe plus âgé sur les relations entre personnes de même sexe, en particulier entre l'amant et la personne aimée, qui étaient largement pratiquées et qu'il approuvait auparavant. Les lignes de Platon tirées des Lois sont souvent citées comme "preuve" que les relations homosexuelles n'étaient pas universellement approuvées dans la Grèce antique, mais les œuvres antérieures de Platon, le Symposium et Phèdre, ainsi que de nombreuses autres œuvres, soutiennent ces relations, les louant même comme étant le fondement de la démocratie et une élévation de l'âme parce qu'elles étaient librement choisies et n'avaient rien à voir avec la valeur que la société accordait à la procréation.

Le mythe de Ganymède a été invoqué par de nombreuses personnes, notamment dans les arts visuels, pour célébrer les relations homoérotiques. Le dénommé Peintre de Berlin représenta l'histoire de Ganymède sur un Cratère à figures rouges (récipient servant à mélanger le vin à l'eau pour le diluer) qui le montre comme un jeune homme athlétique profitant des cadeaux que lui offre Zeus. La plupart des représentations antiques vont dans le même sens, et ce n'est que plus tard, au cours des périodes médiévale et de la Renaissance en Europe, que Ganymède est représenté comme un enfant ou un nourrisson et que le mythe est interprété de façon péjorative.

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Ganymède comme symbole

ON PENSAIT QUE L'AIGLE SYMBOLISAIT LA PUISSANCE ET LA SAGESSE DE ZEUS ET QU'UNE PERSONNE VISITÉE PAR UN AIGLE ÉTAIT CONSIDÉRÉE COMME PARTICULIÈREMENT BÉNIE ET ÉLEVÉE.

Comme nous l'avons vu, Ganymède est devenu un symbole reflétant les valeurs d'une culture à différentes époques, et à la Renaissance, les interprétations chrétiennes des mythes grecs prévalaient. Des passages des épîtres de l'apôtre saint Paul, qui constituent le Nouveau Testament chrétien, ainsi que certains passages de l'Ancien Testament, le Livre du Lévitique, ont été compris comme condamnant les relations entre personnes de même sexe, et Ganymède a donc souvent été représenté comme un enfant enlevé par un dieu en forme d'aigle, soit pour éloigner l'histoire du thème de ces relations, soit pour faire comprendre au public à quel point une telle relation devait être considérée comme perverse.

Cependant, les passages de la Bible qui sont, encore aujourd'hui, cités comme condamnant les relations homosexuelles, ont tous trait à des interdictions de comportements associés à des pratiques religieuses et culturelles polythéistes antérieures, dans le but de distancier le judaïsme, puis le christianisme, de ces pratiques. Les sources primaires montrent clairement que, dans de nombreuses cultures anciennes, les relations homosexuelles étaient considérées, dans l'ensemble, comme une simple alternative aux associations dites hétérosexuelles. Au fur et à mesure que le christianisme devenait la lentille à travers laquelle des mythes comme celui de Ganymède étaient interprétés, les couples de même sexe étaient soit modifiés, soit vilipendés, soit effacés des traductions.

Même dans l'œuvre préchrétienne du poète romain Virgile, Ganymède est dépeint comme une victime d'enlèvement et de viol, enlevée par l'aigle contre son gré, tandis que ses compagnons bergers et ses chiens crient leur détresse. Dans le monde de l'auditoire qui entendit le mythe pour la première fois cependant, le message aurait été clair et exaltant.

Rape of Ganymede Mosaic
Mosaïque de l'enlèvement de Ganymède
Carole Raddato (CC BY-NC-SA)

Pour les Grecs de l'Antiquité, le mythe de Ganymède aurait pu servir de récit exemplaire de la relation entre un amant et son bien-aimé, dans la mesure où Zeus, l'amant le plus âgé, élève le jeune Ganymède vers les cieux, exactement de la même manière qu'un amant plus âgé devait cultiver et développer son jeune bien-aimé. L'aigle était le symbole de Zeus, dans une histoire il avait été créé par Gaia, la Mère de toutes choses, et l'image a été utilisée par Zeus sur son étendard. Que Zeus devienne un aigle ou qu'il envoie un aigle prendre Ganymède, le message aurait été le même pour le public de la Grèce antique. L'aigle symbolisait la puissance et la sagesse de Zeus et une personne visitée par un aigle était considérée comme particulièrement bénie et élevée, comme l'explique Mireaux:

Le langage des dieux peut prendre différentes formes. Ils peuvent communiquer par le biais du tonnerre, des vents, des météores et d'autres présages, voire d'un oiseau en vol. Mais ils peuvent employer et emploient aussi des émissaires spéciaux pour transmettre leur message aux hommes. (26)

Dans le mythe, Zeus, sous la forme d'un aigle ou d'un aigle envoyé par Zeus, s'empare du berger sans méfiance et l'emmène dans le royaume des dieux. Pour un public moderne, cela serait comparable au fait de gagner à la loterie à un moment de sa vie où les perspectives semblent sombres. Ganymède, malgré toute sa beauté, était, après tout, le troisième fils de Tros, et il était peu probable qu'il ait pu espérer recevoir un gros héritage.

Au mieux, il aurait vécu de la générosité de ses frères aînés qui lui auraient offert un poste lucratif. Au lieu de cela, il est transféré du temporel à l'éternité par un dieu qui prend soin de lui et lui donne tout son soutien. Une fois que l'on supprime le rejet moderne des relations homosexuelles d'une interprétation de l'histoire, celle-ci résonne clairement comme un conte du bonheur, même dans les versions où Ganymède renonce à sa position privilégiée afin d'apporter la paix aux dieux et l'eau de la vie à l'humanité.

Conclusion

Ganymède aurait été respecté, et peut-être même envié, par un public antique qui aurait espéré qu'une telle chance lui tombe dessus. Commentaires de Mireaux:

En règle générale, bien sûr, les dieux (à l'exception des dieux du foyer, des champs, des bois et des eaux) n'ont pas de relations directes et permanentes avec les hommes... Ils établissent des relations de différentes manières, en tant que guides et conseillers et en tant que porteurs d'avertissements; bien qu'ils puissent aussi tromper les hommes et leur donner des illusions. De nombreux événements naturels sont en réalité des signes employés par les dieux, si l'on sait les reconnaître et les interpréter correctement. (26)

En contraste avec ce modèle d'interaction de l'humanité avec le divin, Ganymède est spécifiquement choisi par les dieux, ou un dieu, pour sa beauté et se voit accorder l'immortalité dans les cieux. Dans la communauté LGBTQ+ moderne, Ganymède continue d'être un symbole du type d'élévation qui vient de l'amour et du fait d'être amoureux, ce qui permet le même vol de l'âme vers les cieux que le jeune berger découvrit grâce à l'aigle de Zeus.

À propos du traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

A propos de l'auteur

Joshua J. Mark
Auteur indépendant et ex-Professeur de Philosophie à temps partiel au Marist College de New York, Joshua J. Mark a vécu en Grèce et en Allemagne, et a voyagé à travers l'Égypte. Il a enseigné l'histoire, l'écriture, la littérature et la philosophie au niveau universitaire.

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Style APA

Mark, J. J. (2021, juin 23). Ganymède [Ganymede]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Récupéré de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-14354/ganymede/

Le style Chicago

Mark, Joshua J.. "Ganymède." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. Dernière modification juin 23, 2021. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-14354/ganymede/.

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Mark, Joshua J.. "Ganymède." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 23 juin 2021. Web. 04 oct. 2024.

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