Amon

Définition

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 29 juillet 2016
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Disponible dans ces autres langues: anglais, espagnol
Ram of Amun (by James Blake Wiener, CC BY-NC-SA)
Bélier d'Amon
James Blake Wiener (CC BY-NC-SA)

Amon (également Imen, Amon-) est l'ancien dieu égyptien du soleil et de l'air. Il est l'un des dieux les plus importants de l'Égypte ancienne, qui s'imposa à Thèbes au début de la période du Nouvel Empire (c. 1570-1069 av. J.-C.). Son culte fut le plus puissant et le plus populaire d'Égypte pendant des siècles.

Il est généralement représenté comme un homme barbu portant une coiffe à double panache ou, après le Nouvel Empire, comme un homme à tête de bélier ou simplement un bélier, symbolisant la fertilité dans son rôle d'Amon-Min. Son nom signifie "celui qui est caché", "invisible", "mystérieux dans sa forme" et, contrairement à la plupart des autres dieux égyptiens, il était considéré comme le Seigneur de tout, qui englobait tous les aspects de la création.

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Origine et montée sur le devant de la scène

Amon est mentionné pour la première fois dans les textes des pyramides (c. 2400-2300 av. J.-C.) en tant que dieu local de Thèbes avec son épouse Amemet. À cette époque, le dieu suprême de Thèbes était le dieu de la guerre Montou et le dieu créateur était considéré comme Atoum (également connu sous le nom de Toum). Montou était un guerrier féroce qui protégeait la ville et l'aidait à s'étendre, tandis qu'Atoum était la divinité suprêmement puissante qui s'était créée elle-même et qui avait surgi des eaux du chaos sur le monticule primordial au début de la création. Amon, à cette époque, était associé à la protection du roi, mais n'était pour l'essentiel qu'un dieu local de la fertilité associé à son épouse Amemet dans le cadre de l'Ogdoade, huit dieux représentant les éléments primordiaux de la création.

Amon n'était pas considéré comme plus puissant ou plus important que les autres dieux qui faisaient partie de l'Ogdoade, mais il représentait l'élément "caché" ou "ombre" alors que les autres représentaient des concepts plus clairement définis tels que "les ténèbres", "l'eau" et "l'infini". Le fait qu'Amon soit "l'Ombre" laissait aux gens la possibilité de le définir en fonction de leur propre compréhension de ce qu'ils voulaient qu'il soit. Un dieu qui représentait les ténèbres ne pouvait pas également représenter la lumière, ni un dieu de l'eau représenter la sécheresse, etc. En revanche, un dieu personnifiant la mystérieuse nature cachée de l'existence pouvait se prêter à n'importe quel aspect de cette existence, et c'est précisément ce qui se passa avec Amon.

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Amun, Mut, and Khonsu
Amon, Mout et Khonsou
Osama Shukir Muhammed Amin (Copyright)

Vers 1800 avant notre ère, les Hyksôs, un peuple mystérieux probablement originaire du Levant, s'installèrent en Égypte. Vers 1720 avant notre ère, ils étaient devenus suffisamment puissants pour prendre le contrôle de la Basse-Égypte et rendre la cour de Thèbes obsolète. Cette époque est connue sous le nom de Deuxième Période Intermédiaire (v. 1782 - v. 1570 av. J.-C.) au cours de laquelle les Hyksôs régnèrent sur l'Égypte. Vers 1570 avant notre ère, le prince Ahmôsis Ier (v. 1550 - v. 1525 avant notre ère) chassa les Hyksôs du pays et rétablit la ville de Thèbes.

Depuis l'époque du Moyen Empire (2040-1782 av. J.-C.), Amon avait gagné en puissance à Thèbes et faisait partie de la triade thébaine de divinités avec son épouse Mout (qui remplaça Amemet) et leur fils Khonsou, le dieu de la lune. Lorsque Ahmôsis Ier vainquit les Hyksôs, il attribua sa victoire à Amon, le reliant ainsi au célèbre dieu du soleil, Rê. Amon étant "le caché", lié à aucun phénomène ou principe naturel définissable, il était suffisamment malléable pour s'adapter à n'importe quel attribut que l'on souhaitait lui ajouter. Dans ce cas, l'aspect mystérieux de la vie - ce qui fait de la vie ce qu'elle est - était lié à l'aspect visible de l'existence qui donne la vie: le soleil. Amon devint alors Amon-Rê, créateur de l'univers et roi des dieux.

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Le roi des dieux

Après l'ascension d'Amon au cours du Nouvel Empire, il fut salué comme "l'Autocréateur" et le "Roi des Dieux" qui avait créé toutes les choses, y compris lui-même. Il était associé au dieu du soleil Rê, lui-même associé à l'ancien dieu Atoum d'Héliopolis. Bien qu'Amon ait pris de nombreux attributs d'Atoum et l'ait plus ou moins remplacé, les deux divinités restèrent distinctes et Atoum continua à être vénéré. Dans son rôle d'Amon-Rê, le dieu combine son aspect invisible (symbolisé par le vent que l'on ne peut voir mais dont on est conscient) et son aspect visible en tant que soleil qui donne la vie. En Amon, les aspects les plus importants de Rê et d'Atoum furent combinés pour créer une divinité globale dont les aspects représentent littéralement toutes les facettes de la création.

Dans Amon, les aspects les plus importants de Rê et d'Atoum furent combinés pour créer une divinité globale dont les aspects représentaient littéralement toutes les facettes de la création.

Son culte était si populaire que, comme l'observe le spécialiste Richard H. Wilkinson, la religion égyptienne devint presque monothéiste et Amon "s'est particulièrement rapproché d'une sorte de divinité monothéiste" (94). La popularité de ce dieu ouvrit en effet la voie au premier mouvement religieux monothéiste en Égypte sous Akhenaton (1353-1336 av. J.-C.), qui interdit les cultes polythéistes et instaura la religion d'État du seul vrai dieu Aton.

Bien que les efforts d'Akhenaton aient été historiquement considérés comme un effort sincère de réforme religieuse, il était très probablement motivé par la grande richesse des prêtres d'Amon, qui, au moment où il monta sur le trône, possédaient plus de terres et de richesses que le pharaon.

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Importance et culte

Une fois Amon identifié comme la divinité la plus puissante de l'univers, il acquit des épithètes qui décrivent au mieux ses différents aspects. Wilkinson écrit que "les Égyptiens eux-mêmes l'appelaient Amon achâ renou ou "Amon riche en noms", et le dieu ne peut être pleinement compris qu'en fonction des nombreux aspects qui se combinaient en lui" (92). Il était connu sous le nom de "Dieu caché", celui dont la nature ne pouvait être connue et qui était associé à l'air ou au vent, que l'on peut sentir mais pas voir ni toucher. Il était également le Dieu créateur qui, à l'origine, se tenait sur le premier sol sec au début des temps et créa le monde en s'accouplant avec lui-même.

Amun
Amon
Joanna Penn (CC BY)

Une fois lié à Rê pour devenir Amon-Rê, il prit les aspects de Rê en tant que dieu solaire et, comme on peut s'y attendre de la part d'un créateur, il était également un dieu de la fertilité lié à la divinité de la fertilité Min (un dieu très ancien) et connu à cet égard sous le nom d'Amon-Min. Comme il avait absorbé les attributs du dieu de la guerre Montou de Thèbes, il était régulièrement invoqué lors des batailles (comme l'avait fait Ahmôsis Ier) et était donc aussi un dieu de la guerre. Sa nature mystérieuse infusait et donnait forme à tout ce que les êtres humains pouvaient voir et à tout ce qui restait caché à la vue. Il était donc aussi un dieu universel, le plus puissant de l'univers et, naturellement, le roi des dieux. L'égyptologue Geraldine Pinch écrit:

Dans son principal temple de culte à Karnak, à Thèbes, Amon, Seigneur des Trônes des Deux Terres, régnait en pharaon divin. Contrairement à d'autres divinités importantes, Amon ne semble pas avoir été considéré comme vivant dans un lointain royaume céleste. Sa présence était omniprésente, invisible mais ressentie comme le vent. Ses oracles communiquaient la volonté divine à l'humanité. On disait qu'Amon venait rapidement aider les rois égyptiens sur le champ de bataille ou les pauvres et les sans-amis. Lorsqu'il se manifestait dans ses statues de culte, Amon visitait périodiquement la nécropole de Thèbes pour s'unir à sa déesse, Hathor, et redonner vie aux morts. (100-101)

Au Nouvel Empire, Amon devint rapidement la divinité la plus populaire et la plus vénérée d'Égypte. Wilkinson note que "les monuments qui lui furent construits à cette époque étaient tout simplement stupéfiants et Amon était vénéré dans de nombreux temples à travers l'Égypte" (95). Le temple principal d'Amon à Karnak reste la plus grande structure religieuse jamais construite et était relié au sanctuaire sud du temple de Louxor. Les ruines de ces temples et de nombreux autres temples d'Amon sont encore visibles aujourd'hui, mais il existait également un temple flottant à Thèbes, connu sous le nom de Vaisseau d'or d'Amon, qui était considéré comme l'une des œuvres les plus impressionnantes créées pour le dieu.

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Le vaisseau d'or d'Amon était connue des Égyptiens sous le nom d'Amon-Ousirhati, et fut offert à la ville par Ahmôsis Ier après sa victoire sur les Hyksôs et son accession au trône. L'égyptologue Margaret Bunson écrit : "Il était recouvert d'or à partir de la ligne de flottaison et rempli de cabines, d'obélisques, de niches et d'ornements élaborés" (21). Lors de la grande fête d'Amon, la fête d'Opet, le vaisseau se déplaçait en grande pompe, transportant la statue d'Amon du temple de Karnak jusqu'au temple de Louxor pour que le dieu puisse lui rendre visite. Lors de la belle fête de la Vallée, qui honore les morts, les statues d'Amon, de Mout et de Khonsou (la triade thébaine) voyageaient sur le bateau d'une rive à l'autre du Nil afin d'y participer.

D'autres jours, le vaisseau était amarré sur les rives du Nil ou au lac sacré de Karnak. Lorsqu'il n'était pas utilisé, il était abrité dans un temple à Thèbes, tout spécialement construit pour lui, et chaque année, le temple flottant était remis en état et repeint ou reconstruit. D'autres barques d'Amon furent construites ailleurs en Égypte, ainsi que d'autres temples flottants dédiés à d'autres divinités, mais le vaisseau d'or d'Amon de Thèbes était réputé être particulièrement impressionnant.

Les prêtres d'Amon et le pharaon Akhenaton

Les richesses dont disposait le roi Ahmosis Ier pour construire la barque d'Amon paraissent minuscules comparées à celles amassées par les prêtres d'Amon à Thèbes et ailleurs. À l'époque d'Amenhotep III (1386-1353 av. J.-C.), les prêtres possédaient plus de terres, disposaient de plus de liquidités et étaient presque aussi puissants que le pharaon. Amenhotep III introduisit des réformes religieuses pour tenter de limiter le pouvoir de la prêtrise, mais elles furent relativement inefficaces.

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Sa réforme la plus importante fut l'élévation d'une divinité auparavant mineure, Aton, au rang de protecteur personnel, et il encouragea le culte de ce dieu en même temps que celui d'Amon. Le culte d'Amon n'en fut pas affecté pour autant et continua à se développer. Aton était déjà associé à Amon et à Rê en tant que disque solaire représentant le pouvoir divin du soleil. Le symbole d'Aton devint simplement une autre façon d'exprimer sa dévotion à Amon, et les prêtres continuèrent à vivre leur vie confortable de privilèges et de pouvoir.

Amun & Tutankhamun
Amon et Toutânkhamon
Mark Cartwright (CC BY-NC-SA)

Cette situation changea radicalement lorsque Amenhotep IV (1353-1336 av. J.-C.) succéda à son père en tant que pharaon. Pendant les cinq premières années de son règne, Amenhotep IV suivit les politiques et les pratiques de son père, puis il changea son nom en Akhenaton (qui signifie "qui réussit pour" ou "qui est d'une grande utilité pour" le dieu Aton) et lança des réformes religieuses spectaculaires qui affectèrent tous les aspects de la vie en Égypte. La vie religieuse était intimement liée à l'existence quotidienne et les dieux faisaient partie du travail, de la famille et des loisirs.

Le peuple comptait sur les temples des dieux non seulement comme source de réconfort spirituel et de sécurité, mais aussi comme lieux de travail, dépôts de nourriture, cabinets médicaux, centres de conseil et centres commerciaux. Akhenaton ferma les temples et interdit le culte traditionnel des dieux de l'Égypte; il proclama Aton le seul vrai dieu et la seule divinité digne de vénération.

Il fit construire une nouvelle ville, Akhetaton, et abandonna Thèbes comme capitale. L'historien Marc van de Mieroop commente ce fait en écrivant:

Avec le déménagement à Akhetaton, Akhenaton ne se contenta plus d'ignorer les autres dieux de l'Égypte, mais commença à les persécuter, en particulier Amon, dont il avait supprimé le nom et les images... de nombreuses personnes continuèrent leurs pratiques religieuses antérieures en privé, bien qu'aucun culte officiel autre que celui d'Aton n'ait été toléré. (203)

À la mort d'Akhenaton en 1336 avant notre ère, son fils Toutânkhaton monta sur le trône, prit le nom de Toutânkhamon (1336-1327 av.J,-C.) et ramena la capitale de l'Égypte à Thèbes. Il rétablit l'ancienne religion égyptienne et ouvrit tous les temples. À sa mort, le général Horemheb (1320-1292 av. J.-C.) devint pharaon (après une brève lutte pour le pouvoir) et effaça le souvenir d'Akhenaton et de sa famille des annales historiques, tout en redonnant aux anciens dieux leurs lettres de noblesse. Le pouvoir du culte d'Aton et du mouvement religieux d'Akhenaton semble toutefois avoir perduré, et il a été suggéré que le grand législateur hébreu Moïse était un prêtre d'Aton qui avait quitté l'Égypte avec ses disciples pour établir une communauté monothéiste ailleurs. Cette théorie est étudiée en profondeur dans l'ouvrage de Sigmund Freud, Moïse et le monothéisme.

Popularité persistante d'Amon

Après le règne d'Horemheb, le culte d'Amon se poursuivit comme auparavant et fut tout aussi populaire. Il fut largement accepté tout au long de la 19e dynastie du Nouvel Empire et, à l'époque de la période ramesside (c. 1186-1077 av. J.-C.), les prêtres d'Amon étaient si puissants qu'ils étaient capables de gouverner la Haute-Égypte depuis Thèbes en tant que pharaons. Le pouvoir des prêtres d'Amon est d'ailleurs l'un des principaux facteurs de la chute du Nouvel Empire. Le culte d'Amon continua à exercer son contrôle depuis Thèbes pendant la troisième période intermédiaire (c. 1069-525 av. J.-C.), alors même que le culte d'Isis gagnait de plus en plus d'adeptes.

Une coutume instaurée par Ahmôsis Ier était la consécration des femmes royales en tant qu'"épouses divines d'Amon" qui officiaient lors des festivals et des cérémonies. Cette fonction existait déjà avant Ahmôsis Ier, mais ce dernier en fit une fonction de grand prestige et de pouvoir. Wilkinson écrit que "les rois kouchites de la 25e dynastie poursuivirent cette pratique et leur règne conduisit en fait à une résurgence du culte d'Amon, les Nubiens ayant accepté le dieu comme le leur" (97). Lorsque le roi assyrien Assurbanipal mit à sac Thèbes en 666 avant notre ère, Amon était largement vénéré dans toute l'Égypte et, par la suite, le dieu resta tout aussi populaire. Wilkinson note,

Le culte d'Amon s'étendait également à la vénération non formelle de la religion populaire. Le dieu était considéré comme l'avocat de l'homme du peuple, appelé "le vizir des humbles" et "celui qui vient à la voix des pauvres" et, en tant qu'"Amon de la route", il était également considéré comme le protecteur des voyageurs. (97)

La reine Hatchepsout (1479-1458 av. J.-C.) avait un jour affirmé qu'Amon était son père, légitimant ainsi son règne. Alexandre le Grand ferait de même en 331 avant notre ère à l'oasis de Siwa, en se proclamant fils du dieu Zeus Ammon, la version grecque du dieu. En Grèce, Zeus Ammon était représenté comme un Zeus à la barbe fournie, portant les cornes de bélier d'Amon, et associé à la puissance et à la virilité par le biais d'une imagerie comprenant le taureau et le bélier. Le dieu fut transporté à Rome sous le nom de Jupiter-Ammon, où il était vénéré pour les mêmes raisons qu'ailleurs.

Zeus Ammon
Zeus Ammon
Mark Cartwright (CC BY-NC-SA)

La popularité d'Amon déclina globalement en Égypte à mesure qu'Isis devenait plus populaire, mais il était encore régulièrement vénéré à Thèbes, même après que la ville fut tombée en ruine à la suite de l'invasion assyrienne. Son culte se développa surtout dans la région du Soudan où, comme en Égypte, ses prêtres devinrent suffisamment puissants et riches pour imposer leur volonté aux rois de Méroé. Comme à la période amarnienne de l'histoire égyptienne, lorsque Akhenaton s'opposa aux prêtres d'Amon, le roi Ergaménès de Méroé ne put tolérer plus longtemps le pouvoir des prêtres d'Amon dans son pays et les fit massacrer vers 285 avant notre ère, rompant ainsi les liens avec l'Égypte et établissant un État autonome.

Amon continua cependant d'être vénéré à Méroé et ailleurs, en tant que divinité puissante. Le culte d'Amon continuerait d'attirer des adeptes jusqu'à la période connue sous le nom d'Antiquité classique (vers le Ve siècle de notre ère), lorsque, comme tous les anciens dieux, il serait éclipsé par la nouvelle religion du christianisme.

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Auteur indépendant et ex-Professeur de Philosophie à temps partiel au Marist College de New York, Joshua J. Mark a vécu en Grèce et en Allemagne, et a voyagé à travers l'Égypte. Il a enseigné l'histoire, l'écriture, la littérature et la philosophie au niveau universitaire.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2016, juillet 29). Amon [Amun]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-10203/amon/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Amon." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le juillet 29, 2016. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-10203/amon/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Amon." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 29 juil. 2016. Web. 04 mai 2024.

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