Artaxerxès Ier

Définition

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 03 mars 2020
Disponible dans ces autres langues: anglais, espagnol
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Artaxerxes I (by पाटलिपुत्र, CC BY-SA)
Artaxerxès Ier
पाटलिपुत्र (CC BY-SA)

Artaxerxès Ier (r. de 465 à 424 av. J.-C.) fut le sixième monarque de l'Empire perse achéménide. Il était le fils de Xerxès Ier (r. de 486 à 465 av. J.-C.) et de sa principale épouse Amestris (+ 424 av. J.-C.) et le petit-fils de Darius Ier (le Grand, r. de 522 à 486 av. J.-C.). Il poursuivit les guerres perses contre la Grèce entamées par ses deux prédécesseurs, mais préférait la discrétion et la corruption à la guerre ouverte, mettant finalement fin à la lutte avec la paix de Callias vers 449 avant notre ère.

Il avait auparavant accueilli à sa cour l'homme d'État et général athénien Thémistocle (c. 524 - v. 460 av. J.-C.), que les Athéniens avaient ostracisé, en échange de son offre d'aider les Perses à écraser les Grecs, mais Thémistocle mourut avant qu'une action militaire ne soit entreprise. Même sans l'aide de Thémistocle, Artaxerxès Ier parvint à venger les défaites de son père et de son grand-père face aux Grecs en exploitant les tensions entre Athènes et Sparte par le renforcement militaire de cette dernière, contribuant ainsi aux guerres du Péloponnèse (460-446 et 431-404 av. J.-C.) en Grèce.

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Pendant son règne, Artaxerxès Ier acheva la salle des 100 colonnes à Persépolis, reconstruisit le palais de Darius Ier à Suse après un incendie et réprimea la révolte d'Inaros II (c. 460-454 av. J.-C.) en Égypte. Il maintint également la politique perse de tolérance religieuse et d'autonomie et est probablement mieux connu à travers les livres bibliques d'Esdras et de Néhémie où il est dépeint comme un grand bienfaiteur du peuple juif, l'aidant à reconstruire le temple de Jérusalem et à établir la loi mosaïque.

Historique et ascension au pouvoir

L'empire achéménide fut fondé par Cyrus II (le Grand, r. d'environ 550 à 530 av. J.-C.) qui, parmi ses nombreuses autres réalisations notables, permit aux Juifs de retourner à Jérusalem, mettant ainsi fin à la captivité babylonienne (c. 605-536 av. J.-C.). Son fils Cambyse II (r. de 530 à 522 av. J.-C.) lui succéda et conquit l'Égypte en 525 av. J.-C. et l'intégra à l'empire. Cambyse II mourut lors de son voyage de retour et fut brièvement remplacé par un homme qui était soit son frère Bardiya, soit un imposteur nommé Gaumata, qui fut tué et remplacé par Darius Ier.

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Artaxerxès Ier comprit qu'il serait plus prudent d'essayer de détruire les Grecs autrement que par un conflit ouvert.

En réponse au soutien athénien à une révolte des Grecs ioniens dans son empire, Darius Ier lança une invasion de la Grèce continentale en 490 avant notre ère, qui fut stoppée à la célèbre bataille de Marathon. Xerxès Ier rassembla alors une grande armée et tenta d'achever ce que son père avait commencé par une seconde invasion en 480 avant notre ère, qui fut vaincue en 479 avant notre ère. Xerxès Ier rentra chez lui et s'occupa de projets de construction, de femmes et d'intrigues de cour jusqu'à ce qu'il ne soit assassiné par Artaban, son homme de confiance, en 465 avant notre ère, qui tua peut-être aussi son fils Darius.

Artaxerxès Ier fit exécuter Artaban et ses fils pour le meurtre qu'ils avaient commis et monta sur le trône. Peu avant la mort de Xerxès Ier, celui-ci avait planifié une autre action contre la Grèce qui fut défaite avant même d'avoir pu commencer à la bataille de l'Eurymédon vers 466 avant notre ère, une action commandée par le très zélé général athénien Cimon (c. 510-c. 450 av. J.-C.) terriblement hostile à la Perse. Artaxerxès Ier, au vu de la série de défaites que la Grèce avait infligées à la Perse, reconnut qu'il serait plus prudent d'essayer d'autres moyens de la détruire qu'au cours d'un conflit ouvert. La réponse à sa question semble s'être présentée avec l'improbable arrivée à la cour de l'ennemi de son père, le général grec Thémistocle.

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Thémistocle et le conflit avec la Grèce

Thémistocle était le cerveau qui avait orchestré la défaite de Xerxès Ier lors de la bataille navale de Salamine en 480 avant J.-C. Il avait d'abord été salué en tant que grand héros par les Athéniens. Vers 471 avant notre ère, cependant, il tomba en disgrâce et fut d'abord officiellement ostracisé, puis faussement accusé de trahison et jugé. Thémistocle s'enfuit d'abord à Argos, puis à Molossia, et enfin dans les colonies grecques ioniennes d'Asie mineure où il se rendit à la cour d'Artaxerxès Ier et se présenta au roi.

Il dit à Artaxerxès Ier que, bien qu'il ait été l'ennemi de son père pendant la guerre, il était maintenant prêt, compte tenu des circonstances, à aider le nouveau roi à venger la défaite et à s'emparer de la Grèce. Thémistocle ne prit qu'un an pour apprendre la langue et les coutumes perses et se mit au service d'Artaxerxès Ier. Le roi lui confia le gouvernorat de trois villes (peut-être plus) et permit à sa femme et à ses enfants de quitter clandestinement Athènes et de le rejoindre.

Themistocles
Thémistocle
Sailko (CC BY)

La date précise de l'arrivée de Thémistocle à la cour est inconnue, mais elle doit se situer peu après l'arrivée au pouvoir d'Artaxerxès Ier, car cette même année (465 av. J.-C.), il occupait le poste de gouverneur de Magnésie, comme l'attestent les pièces de monnaie qu'il fit frapper. Les activités d'Artaxerxès Ier à cette époque ne sont pas certaines non plus (bien que, très probablement, il était occupé à achever le travail laissé inachevé par son père à Persépolis) mais, quoi qu'il ait pu faire d'autre, il encouragea secrètement les tensions entre Athènes et Sparte en fournissant aux Spartiates d'énormes quantités de darics en or (monnaie frappée pour la première fois sous Darius Ier) à l'effigie d'un archer perse. Le spécialiste Kaveh Farrokh écrit:

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Ironiquement, ces "archers de la monnaie" ont eu beaucoup plus d'influence que les archers impériaux des guerres passées entre Darius et Xerxès. L'or perse était désormais la principale force de l'Empire sur le théâtre égéen [de la guerre]. (88)

Après la défaite de Xerxès Ier, les Athéniens créèrent la Ligue de Délos en 478 avant notre ère, une alliance de cités-États grecques qui acceptèrent de mettre de côté leurs différences pour se défendre contre l'éventualité d'une nouvelle invasion perse et pour libérer leurs compatriotes de la domination perse. Ces cités-États acceptèrent d'être dirigées par Athènes et le nom de la ligue vient de l'emplacement de leur trésor sur l'île de Délos. La Ligue de Délos est à l'origine de la victoire sur les Perses à l'Eurymédon vers 466 avant notre ère et de l'élimination de la piraterie, ce qui profita à tout le monde, mais le principal bénéficiaire fut Athènes qui devint de plus en plus riche et puissante sous la direction de Périclès (495-429 av. J.-C.) qui utilisa librement la Ligue de Délos pour renforcer le pouvoir de sa ville natale.

Un certain nombre de cités-États - membres ou non de la ligue - s'opposèrent à ce qui semble être la création d'un empire athénien, mais aucune ne le fit plus que Sparte. Artaxerxès Ier exploita cette situation en finançant le renforcement militaire de Sparte tout en faisant des ouvertures de paix et des cadeaux en dariques d'or à Athènes. Il ne lui restait plus qu'à attendre que l'un de ses ennemis se sente assez puissant pour défier l'autre.

Persian Gold Daric
Darique en or perse
Mark Cartwright (CC BY-NC-SA)

En 460 avant notre ère, Sparte demanda l'aide d'Athènes pour mater une rébellion d'Hilotes, mais insulta les Athéniens à leur arrivée pour des raisons obscures. À la même époque, les Spartiates avaient fini par se lasser de l'arrogance athénienne et, surtout, des longs murs défensifs que les Athéniens avaient construits autour de leur ville et qui, pour beaucoup, ressemblaient à des préparatifs de guerre. Les tensions finirent par éclater en 460 avant notre ère lors de la première guerre du Péloponnèse, qui opposait principalement Athènes et Corinthe, alliée de Sparte.

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Avec le déclenchement des hostilités qu'il attendait, Artaxerxès Ier aurait demandé à Thémistocle de tenir sa promesse et de l'aider à détruire Athènes. Selon Plutarque (c. 45-c. 125 de notre ère), Thémistocle reconsidéra sa promesse au roi, réfléchissant au fait qu'aider les Perses contre ses compatriotes détruirait sa réputation dans l'histoire, et il se donna la mort en buvant du sang de taureau ou du poison. L'historien Thucydide (c. 460 - c. 400 av. J.-C.) affirme cependant que Thémistocle serait simplement mort de causes naturelles avant qu'Artaxerxès Ier n'ait pu lui demander son aide.

Révolte des Égyptiens et de Mégabyze

Artaxerxès Ier envisageait vraisemblablement un autre plan d'action lorsqu'il fut distrait par des troubles dans sa province égyptienne. Le prince libyen Inaros II - qui avait des liens avec la dynastie égyptienne des Saïtes et s'était allié à Amyrtée de Saïs - se révolta contre les Perses qui occupaient l'Égypte. Il était soutenu par Athènes et la rébellion était si inattendue et si bien orchestrée qu'elle prit les Perses par surprise.

Les Athéniens avaient prévu de frapper la Chypre perse en 460 avant notre ère lorsque Inaros II se révolta et leur demanda de l'aide. La prise de l'Égypte à la Perse serait bien plus bénéfique que la possession de Chypre et Athènes répartit donc ses forces entre la guerre avec Corinthe et les rebelles d'Égypte.

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Mégabyze vainquit Inaros II et Arshama fut victorieux de la flotte athénienne, rétablissant la paix en Égypte sous la domination perse.

Le conflit se poursuivit pendant six ans, au cours desquels le général Mégabyze (mort vers 440 av. J.-C., qui avait servi sous Xerxès Ier lors de l'invasion de la Grèce en 480 av. J.-C.) commandait les forces terrestres perses de concert avec le satrape perse d'Égypte, Arshama, qui dirigeait la flotte perse. Au début, la guerre ne se déroula pas sans heurts pour les Perses, car Inaros II s'avéra être un commandant compétent et, en outre, les forces rebelles étaient équipées et soutenues par Athènes. Finalement, en 454 avant notre ère, Mégabyze vainquit Inaros II et Arshama fut victorieux de la flotte athénienne au large de la région du Delta, rétablissant ainsi la paix en Égypte sous la domination perse.

Inaros II et 50 généraux grecs furent enchaînés à Suse où, selon l'historien Ctésias (Ve siècle av, J.-C.), la reine-mère Amestris demanda leur exécution immédiate. Mégabyze, cependant, leur avait donné sa parole d'honneur qu'il ne leur serait fait aucun mal. Artaxerxès Ier respecta la promesse de Mégabyze, mais Amestris ne le fit pas et continua à harceler son fils jusqu'à ce qu'il ne finisse par céder. Inaros II fut empalé et les généraux décapités.

Cette action indigna tellement Mégabyze qu'il retourna dans sa satrapie, leva une armée et se révolta. Mégabyze rencontra les généraux envoyés contre lui en combat singulier, refusant que les Perses ne se fassent la guerre entre eux, et il épargna leurs vies après les avoir vaincus. Artaxerxès Ier envoya une ambassade, dont faisait partie Amestris, qui lui présenta ses excuses et lui offrit une chance de paix et de réconciliation. Mégabyze, sentant son honneur restauré, accepta et retourna au service du roi.

Autres conflits en Grèce et paix

Vers 450 avant notre ère, alors que la première guerre du Péloponnèse contre Corinthe se poursuivait, Athènes reprit sa campagne pour reprendre Chypre à la Perse. L'idée semblait être de relancer la révolte en Égypte en prenant Chypre comme base de départ. Une grande flotte fut lancée, commandée par Cimon, qui arriva à Chypre et exigea sa reddition. L'île était cependant bien fortifiée et garnie par les troupes de Mégabyze.

Cimon attaqua, bien que les défenses aient été redoutables, et fut tué à Citium. L'attaque fut abandonnée et la flotte se retira. Les Athéniens ne semblaient pas comprendre qu'ils auraient mieux fait de concentrer toute leur attention sur la guerre avec la Ligue du Péloponnèse de Sparte (leur réponse à la Ligue de Délos d'Athènes) plutôt que de diviser leurs forces par des attaques incessantes sur le territoire perse.

Peloponnesian War
Guerre du Péloponnèse
Marsyas (CC BY-SA)

Artaxerxès Ier, cependant, comprit qu'il fallait faire quelque chose pour empêcher Athènes d'interférer dans ses affaires et envoya une ambassade à Athènes, dont faisait partie Mégabyze, pour lui proposer la paix. Les Athéniens répondirent en envoyant leur maître diplomate, l'homme d'État Callias, à Suse où la paix de Callias fut négociée. Farrokh en décrit les termes:

Le traité mit officiellement fin aux guerres de conquête lancées par Darius le Grand. Les deux parties reconnurent leurs sphères d'intérêt respectives et s'engagèrent à ne pas interférer dans les affaires de l'autre. Les Achéménides s'abstinrent d'intervenir dans la mer Égée, tandis que les Grecs reconnurent l'autorité perse sur l'Anatolie, en particulier le long de la côte ionienne. La Perse s'engageait également à accorder l'autonomie à ses sujets ioniens... Bien que Callias ait tenté d'instaurer [une paix durable], le traité, comme beaucoup d'autres, ne réussit pas à atténuer la méfiance qui régnait entre les deux puissances. (87)

Malgré cela, le traité empêcherait les hostilités d'éclater entre Athènes et la Perse pendant le reste du règne d'Artaxerxès Ier.

Famille, bâtiments et récits bibliques

Tout en s'occupant des Grecs, des Égyptiens et des autres affaires de l'État, Artaxerxès Ier avait aussi, bien sûr, une vie domestique. Il était marié à la reine Damaspia avec laquelle il eut un fils, son héritier Xerxès II (r. 424 av. J.-C.), mais il eut beaucoup d'autres enfants de ses concubines, dont Sogdianos (r. 424 av. J.-C.) qui succéda brièvement à Xerxès II et la future reine Parysatis (Ve siècle av. J.-C.) qui exercerait un pouvoir énorme pendant et après le règne de Darius II (424-404 av. J.-C.). Artaxerxès Ier est décrit par les historiens grecs comme un homme doux et studieux, porté à la réflexion, mais aucune mention n'est faite de sa vie familiale, si ce n'est le nom de ses différents enfants.

Il favorisa la ville de Suse et y apporta un certain nombre d'améliorations. Lorsque le palais de Darius Ier fut détruit dans un gigantesque incendie qui ravagea la ville, Artaxerxès Ier le fit reconstruire, bien qu'à moindre échelle, ainsi que de nombreux autres bâtiments et temples. À Persépolis, il acheva l'impressionnante salle des 100 colonnes commencée par son père et supervisa également, à distance, la reconstruction du temple de Salomon à Jérusalem.

Palace of Darius in Susa
Palais de Darius, Suse
Carole Raddato (CC BY-NC-SA)

Il est le personnage central du livre biblique d'Esdras et apparaît également dans le livre de Néhémie. Prêtre et scribe à Suse, Esdras fut envoyé par Artaxerxès Ier, avec un nombre important de familles juives, à Jérusalem afin de normaliser la loi de Moïse. Il aurait consolidé et édité la loi mosaïque qui aurait ensuite régi la vie des Juifs de la région, suggérant le haut niveau d'autonomie qu'Artaxerxès Ier leur avait accordé.

Néhémie était un haut fonctionnaire à la cour d'Artaxerxès Ier, peut-être son échanson - et donc son confident - qui était affligé par le fait que les murs de Jérusalem étaient en ruine et que la ville n'avait plus aucune défense. Artaxerxès Ier le nomma gouverneur de Judée et l'envoya superviser en personne la reconstruction des murailles. Bien que les spécialistes divergent sur l'interprétation et la chronologie de ces deux récits bibliques, il semble qu'Esdras et Néhémie aient été des contemporains qui auraient travaillé ensemble pour réconcilier le peuple juif avec la domination perse tout en lui laissant la liberté de développer sa propre culture et sa propre religion.

Conclusion

Artaxerxès Ier mourut de mort naturelle en 424 avant notre ère, après avoir assuré une succession pacifique en désignant Xerxès II comme son héritier légitime. Xerxès II ne régna cependant qu'un peu plus d'un mois avant d'être assassiné par Sogdianos. Sogdianos bénéficia du soutien d'une partie des nobles et régna pendant six mois avant d'être assassiné par son demi-frère Nochos (également connu sous le nom d'Ochos) qui prit le nom de Darius II.

Les espoirs de succession pacifique d'Artaxerxès Ier ne s'étaient donc pas concrétisés et Darius II dut réprimer des rébellions dans plusieurs satrapies à la suite de son coup d'État. Sous le règne de Darius II, le petit-fils d'Amyrtée de Saïs (qui avait mené la révolte avec Inaros II), également connu sous le nom d'Amyrtée, fonda la 28e dynastie d'Égypte et chassa les Perses de la région du Delta en Basse-Égypte, ne leur laissant que la Haute-Égypte comme source de céréales entre autres biens.

La paix de Callias ne dura que jusqu'en 412 avant notre ère, lorsque Darius II rompit le traité en aidant Sparte pendant la deuxième guerre du Péloponnèse (431-404 av. J.-C.) et lui permit de vaincre Athènes. Darius II en fait annula bon nombre des réalisations les plus remarquables du règne de son père, mais Artaxerxès Ier est resté dans les mémoires en tant que monarque efficace qui fit ce qu'il y avait de mieux pour son peuple et qui défendit les valeurs de l'empire.

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Auteur indépendant et ex-Professeur de Philosophie à temps partiel au Marist College de New York, Joshua J. Mark a vécu en Grèce et en Allemagne, et a voyagé à travers l'Égypte. Il a enseigné l'histoire, l'écriture, la littérature et la philosophie au niveau universitaire.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2020, mars 03). Artaxerxès Ier [Artaxerxes I]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-360/artaxerxes-ier/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Artaxerxès Ier." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le mars 03, 2020. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-360/artaxerxes-ier/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Artaxerxès Ier." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 03 mars 2020. Web. 07 oct. 2024.

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