Colonie de Merrymount

Définition

Joshua J. Mark
de , traduit par Babeth Étiève-Cartwright
publié le 15 décembre 2020
Disponible dans ces autres langues: anglais
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Festivities at Merrymount (by Internet Archive Book Images, Public Domain)
Fête à Merrymount
Internet Archive Book Images (Public Domain)

La colonie de Merrymount (1624-1630) était une colonie établie en Nouvelle-Angleterre sous le nom de Mount Wollaston en 1624, mais rebaptisée Mount Ma-re (appelée Merrymount) en 1626 par l'avocat, l'écrivain et le colon Thomas Morton (vers 1579-1647), surtout connu pour son livre New English Canaan (un traité sur les autochtones de la région, une histoire naturelle et une critique satirique de ses voisins colons) et l'ouvrage Of Plymouth Plantation de William Bradford (1590-1657), deuxième gouverneur de la colonie de Plymouth, dans lequel il est qualifié de "païen" qui établit une "école d'athéisme" à Merrymount.

Contrairement à la colonie de Plymouth ou à la colonie de la baie du Massachusetts, Merrymount était davantage un centre de commerce qu'une communauté résidentielle ou agricole, mais grâce à l'attitude libérale de Morton à l'égard de la religion et aux relations qu'il développa avec les autochtones, elle connut (selon Morton) plus de succès et de popularité que ses voisines. Morton encouragea une atmosphère de liesse et, en 1627, il fit ériger un mât de mai enrubanné de 24 mètres de haut sur la place de la ville et, se déclarant l'hôte de la communauté, accueillit les colons et les autochtones pour un festival qui dura plusieurs jours.

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Bradford envoya le commandant de sa milice, Myles Standish (c. 1584-1656), pour arrêter Morton en 1628, et il fut déporté en Angleterre. Il revint cependant en 1629 et s'installa à nouveau à Merrymount jusqu'à ce qu'il ne soit à nouveau arrêté et déporté et que Merrymount ne soit incendié en 1630. L'histoire de la colonie est relatée dans un certain nombre de sources du XVIIe siècle, notamment celles de Morton, Bradford et John Winthrop (c. 1588-1649) de la colonie de la Baie du Massachusetts. Le site de Merrymount est aujourd'hui un lotissement résidentiel à Quincy, dans le Massachusetts, mais le souvenir de la colonie en tant qu'alternative progressiste aux modèles puritains ou séparatistes y est encore célébré occasionnellement par des admirateurs de Morton de nos jours.

Mount Wollaston devient Merrymount

Morton convainquit les serviteurs restés à Mount Wollaston de se rebeller et de se joindre à lui dans une entreprise dont ils partageraient les bénéfices à parts égales.

Morton était employé comme avocat par le marchand et investisseur Sir Ferdinando Gorges (c. 1565-1647) en 1622; il effectua pour lui une mission de reconnaissance en Amérique du Nord, dont il revint en 1623, puis fut renvoyé en 1624 dans une expédition, dirigée par le capitaine Richard Wollaston (m. 1626) et composée de 30 serviteurs sous contrat, afin d'établir une colonie permanente pour le commerce à environ 40 miles (64 km) de la colonie de Plymouth. À cette époque, la colonie de Plymouth avait déjà établi un commerce de fourrures rentable avec les autochtones de la région et, d'après les travaux de Bradford, elle ne semble pas avoir fait grand cas de la nouvelle colonie, nommée Mount Wollaston, au début.

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En 1626, selon Bradford, Wollaston emmena certains des serviteurs sous contrat à Jamestown et les loua à d'autres. Il décéda la même année et, toujours selon Bradford, Morton convainquit les serviteurs restés à Mount Wollaston de se rebeller contre le commandant en second que Wollaston avait laissé sur place (un homme nommé Fitcher) et de se joindre à lui dans une entreprise dans laquelle ils partageraient tous les profits de manière égale. Une fois cela accompli, Morton rebaptisa la colonie Mount Ma-re (du latin mare pour "mer", car elle se trouvait près de la côte, mais un jeu de mots sur "merry"), connue plus tard sous le nom de Merrymount.

Conflit entre Merrymount et Plymouth

La colonie de Plymouth avait été fondée en 1620 par les passagers du navire Mayflower, qui étaient à la fois des séparatistes religieux et des anglicans. La colonie était gouvernée selon le Mayflower Compact (alias Pacte du Mayflower), signé par la majorité des hommes en novembre 1620, établissant une forme démocratique de gouvernement, des représentants élus et un état de droit. Les séparatistes et les anglicans cohabitaient pacifiquement à Plymouth, chacun respectant les droits et les croyances de l'autre, et collaborèrent à l'établissement d'un traité avec la confédération Wampanoag sous la direction de son chef Massasoit (c. 1581-1661) en mars 1621. Une fois que Merrymount eut attiré leur attention, Bradford n'avait rien de bon à dire sur la nouvelle colonie qui s'écartait radicalement de sa propre vision, consacrant un long passage à critiquer Morton et son groupe. Après que Morton eut écarté Fitcher, Bradford écrit :

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Ils tombèrent alors dans la débauche la plus totale et menèrent une vie dissolue et profane. Morton devint le seigneur de l'égarement et géra, pour ainsi dire, une école d'athéisme. Dès qu'ils acquirent quelques moyens grâce au commerce avec les Indiens, ils les dépensèrent en buvant du vin et des boissons fortes à l'excès - comme certains l'ont rapporté, pour 10 livres en une matinée ! Ils dressèrent un mât de cocagne, buvaient et dansaient autour pendant plusieurs jours d'affilée, invitaient les Indiennes à devenir leurs compagnes, dansaient et se trémoussaient tous ensemble comme autant de fées - ou plutôt de furies - pour ne rien dire des pratiques encore pires. C'était comme s'ils avaient fait revivre les fêtes de la déesse romaine Flora, ou les pratiques bestiales des folles Bacchanales. Morton, pour montrer sa poésie, composa divers vers et rimes, certains tendant à la lascivité et d'autres au dénigrement et à la médisance de certaines personnes, les apposant sur son futile mât de mai, son idole. Ils changèrent le nom de l'endroit et au lieu de l'appeler Mount Wollaston, ils l'appelèrent Merry Mount, comme si cette gaieté allait durer éternellement... Afin de maintenir cette prodigalité et cet excès émeutiers, Morton, apprenant quel profit les Français et les pêcheurs avaient fait en échangeant des fusils, de la poudre et des plombs aux Indiens, commença à le pratiquer ici, en leur apprenant à s'en servir. Après les avoir instruits, il employa certains d'entre eux à chasser pour lui, jusqu'à ce qu'ils ne deviennent beaucoup plus habiles que les Anglais, en raison de leur rapidité à pied et de leur agilité, de leur vue perçante et de leur connaissance des repaires de toutes sortes de gibier. Il en résulta que, lorsqu'ils virent ce qu'un fusil pouvait faire et les avantages qu'il offrait, ils en devinrent fous et étaient prêts à payer n'importe quel prix pour l'obtenir, considérant que leurs arcs et leurs flèches n'étaient que des babioles en comparaison. (Livre II. ch. 9.)

Merrymount ne pouvait être plus différent de Plymouth à tous points de vue. Morton abolit toute forme de hiérarchie ou de leadership, se faisant appeler " Mine Host " et semblant se considérer comme un égal parmi d'autres. Il n'est pas fait mention de la conclusion d'un traité entre Merrymount et les autochtones, car Morton ne l'aurait pas jugé nécessaire, puisqu'il traitait les indigènes comme des égaux et les trouvait plus honorables que les colons chrétiens avec lesquels il s'était engagé dans la région. Même si l'alcool était certainement consommé à Plymouth, il l'était avec modération alors qu'à Merrymount, les gens semblent avoir apprécié les boissons fortes aussi souvent que possible.

Plimoth Plantation
Plimoth Plantation
Dumphasizer (CC BY-SA)

Selon Morton, les dirigeants de la colonie de Plymouth (et plus tard ceux de la colonie de la Baie du Massachusetts) s'opposèrent à son utilisation du livre de la prière commune, à ses "réjouissances" qui incluaient des autochtones et des colons, et à son succès dans le commerce des fourrures. Morton minimisa l'accusation de Bradford de "débauche" régulière, affirmant que seul le jour de mai était jour de fête:

[Après avoir rebaptisé la colonie Merrymount], et étant résolus à faire confirmer ce nouveau nom comme un mémorial pour l'avenir, [les habitants] ont décidé entre eux de le célébrer de manière solennelle, avec des réjouissances et de la gaieté selon la vieille coutume anglaise; ils se sont préparés à ériger un mât de mai le jour du festival [Mayday] et ont donc brassé un baril d'excellente bière et fourni une caisse de bouteilles à vider, avec d'autres réjouissances, pour tous les visiteurs ce jour-là. Et, parce qu'ils voulaient que ce soit sous une forme complète, ils avaient préparé une chanson adaptée à l'époque et à l'occasion. Et le jour du mai, ils apportèrent le mât de mai à l'endroit désigné, avec tambours, fusils, pistolets et autres instruments appropriés à cet effet, et l'érigèrent avec l'aide de sauvages venus là exprès pour voir comment se déroulaient nos réjouissances. Un bon pin de quatre-vingts pieds de long fut dressé, avec une paire de cornes de bouc clouées très près de son sommet ; il servait de point de repère pour savoir comment trouver le chemin vers Mine Host de Ma-re Mount. (Livre III. ch. 14.)

Morton lui-même ne mentionne pas la vente d'armes et de munitions aux autochtones mais, selon Bradford, c'était la cause première du conflit :

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Morton, après leur avoir enseigné [aux indigènes] l'usage des fusils, leur a vendu tout ce qu'il avait mis de côté, et lui et ses associés ont décidé de faire venir d'importants approvisionnements d'Angleterre, ayant déjà passé commande de plus d'une vingtaine par quelques navires. Cela étant connu, plusieurs membres des colonies éparpillées dans les environs se sont mis d'accord pour demander aux colons de [la colonie de Plymouth], qui étaient alors plus nombreux qu'eux, de se joindre à eux pour empêcher la croissance de ce méfait et pour supprimer Morton et ses associés. (Livre II. ch. 9.)

Bradford écrivit ensuite à Morton pour lui demander de cesser de vendre des armes aux autochtones, mais Morton refusa, affirmant qu'aucune loi ne l'interdisait. L'écrivain Charles Francis Adams, Jr. (1835-1915), qui édita et publia l'édition du 19e siècle du New English Canaan de Morton, note que l'avocat Morton "s'est au moins montré dans cette dispute mieux versé dans la loi d'Angleterre que ceux qui l'ont admonesté" car il n'y avait pas de loi contre la vente d'armes aux autochtones, seulement une proclamation contre cela par le roi James I (r. 1603-1625) et, comme il venait de mourir, le pouvoir de la proclamation - qui n'avait jamais eu force de loi - était mort avec lui (Adams, 26). Morton, souligna Adams, aurait peut-être été conscient qu'il serait de bonne politique de se conformer à la demande de ses voisins et de maintenir de bonnes relations, mais ce genre de considération ne semble pas avoir compté pour lui.

Arrestation et déportation

Après que Morton eut refusé ses demandes, Bradford envoya Myles Standish pour l'arrêter en 1628. Bradford écrit :

[Morton] s'est défendu avec raideur, a fermé ses portes, a armé ses associés, et avait des plats de poudre et de balles prêts sur la table ; et s'ils n'avaient pas blindés d'alcool, plus de mal aurait pu être fait. Ils l'ont sommé de céder, mais ils n'ont obtenu que des railleries de sa part. Finalement, craignant que [Standish et ses hommes] ne détruisent la maison, certains membres de son équipage sont sortis, avec l'intention de ne pas céder mais de tirer, mais ils étaient tellement ivres que leurs fusils étaient trop lourds pour eux. [Morton] lui-même, avec une carabine, surchargée et presque à moitié remplie de poudre et de grenaille, a essayé de tirer sur le capitaine Standish ; mais celui-ci s'est approché de lui, a mis de côté son arme et l'a emporté. Aucun mal n'a été fait de part et d'autre. (Livre II. ch. 9.)

The Arrest of Thomas Morton
L'arrestation de Thomas Morton
Internet Archive Book Images (Public Domain)

Morton donne une version différente des événements :

Les Séparatistes [de la colonie de Plymouth], enviant la prospérité et l'espoir de la plantation de Ma-re Mount (qui, selon eux, commençait à se développer et à être en bonne voie pour gagner de l'argent dans le commerce des castors), conspirèrent ensemble contre Mine Host en particulier (qui était le propriétaire de cette plantation) et formèrent un parti contre lui et rassemblèrent toute l'aide qu'ils purent, le traitant comme un grand monstre. [Ils trouvèrent Mine Host à Wessagussett et] parce que Mine Host était un homme qui s'efforçait de faire progresser la dignité de l'Église d'Angleterre, qu'ils (au contraire) s'efforçaient de vilipender par des termes incivils, s'insurgeant contre le Livre sacré de la Prière commune, et Mine Host qui l'utilisait de manière louable au sein de sa famille, [ils l'arrêtèrent]...On se réjouit beaucoup de ce qu'ils avaient attrapé leur ennemi capital, qu'ils avaient l'intention d'entraver de telle sorte qu'il ne puisse pas maintenir sa plantation à Ma-re Mount. [Ils se mirent à boire pour célébrer, s'enivrèrent et s'endormirent, après quoi Mine Host s'échappa vers Merrymount.] La parole qui fut donnée avec alarme fut : O il est parti, il est parti, que ferons-nous, il est parti ? Les autres (à moitié endormis) se mirent en branle tous enchevêtrés, et comme des béliers, se précipitèrent les uns sur les autres à fond de train dans l'obscurité. Leur grand chef, le capitaine Shrimp [Standish], se lança dans une course effrénée et déchira ses vêtements de colère en voyant le nid vide et leur oiseau envolé. (Livre III. ch. 15.)

Morton poursuit en racontant que Standish et ses hommes le suivirent ensuite jusqu'à Merrymount où il accepta de se rendre à condition que personne - et surtout pas lui - ne soit blessé ; cependant, après avoir accepté et être sorti de sa maison, il fut attaqué, ligoté et emmené. Il fut abandonné sur l'île de Shoals, au large de la côte, sans provisions, et ne survécut que grâce à l'intercession d'autochtones qui lui apportèrent de la nourriture et s'occupèrent de lui jusqu'à ce qu'il ne s'embarque pour l'Angleterre.

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Morton revint en 1629 et se trouvait à nouveau à Merrymount lorsqu'il fut arrêté par le puritain (et futur gouverneur de la colonie de la baie du Massachusetts) John Endicott (vers 1600-1665), qui fit abattre le mât de cocagne et brûla la maison de Morton et le village. Morton et Bradford donnent des points de vue très différents de cet événement, comme de tout autre, Morton clamant son innocence et Bradford triomphant de la destruction de la colonie qui était connue sous le nom de Mont Dagon (une référence au récit biblique de la statue de la divinité cananéenne Dagon tombant devant l'Arche d'Alliance, raconté dans I Samuel 5:1-5). Morton fut à nouveau déporté après que les colons eurent trouvé un navire capable de le transporter, et ce fut la fin de la colonie Merrymount.

Conclusion

Morton n'en avait pas fini avec Merrymount, cependant, et il entama un procès pour faire révoquer la charte de la colonie de la baie de Massachusetts. Il finit par transformer les mémoires de ce procès (qui n'aboutit jamais) en premières ébauches du livre qui allait devenir New English Canaan (publié en 1637). Morton retourna en Nouvelle-Angleterre en 1642 et fut emprisonné à Boston en 1644. Il fut finalement libéré en raison de sa mauvaise santé (et de l'absence de toute preuve de l'accusation selon laquelle il était un "agitateur royaliste") et mourut dans l'actuelle ville de York, dans le Maine, en 1647.

New English Canaan
New English Canaan
Project Gutenberg (Public Domain)

New English Canaan, Merrymount et Morton furent plus ou moins vilipendés pendant le siècle suivant par divers auteurs. Même Adams, qui édita et publia le livre en 1883, n'était pas un admirateur et ne s'intéressa à Morton que parce qu'il possédait les terres qui comprenaient l'ancien site de la colonie. Bien qu'un certain nombre d'écrivains du XIXe siècle aient adopté une vision plus positive de Merrymount et de son hôte, l'auteur Nathaniel Hawthorne (1804-1864), dans sa nouvelle The May-Pole of Merry Mount (publiée en 1832) semble marquer un tournant.

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L'histoire est une version romancée de l'arrivée d'Endicott, de la destruction du mât de mai et de l'incendie de la colonie. Morton n'apparaît pas nommément, mais il est représenté par le personnage de l'officiant ("le prêtre paré de fleurs") lors de la cérémonie de mariage de deux jeunes gens qui, bien qu'heureux au départ, perdent leur joie à l'idée que tout pourrait changer soudainement pour eux juste avant l'arrivée d'Endicott et de sa bande de puritains. Endicott abat le mât de mai, ordonne que les habitants de Merrymount soient fouettés, épargnant pour l'instant le couple et le prêtre, et ordonne qu'un ours dansant, qui se trouvait parmi le groupe, soit abattu d'une balle dans la tête. Le jeune couple est finalement emmené par les puritains et "avec le soleil couchant, le dernier jour de joie avait quitté Merry Mount" (48). L'histoire est régulièrement considérée comme une juxtaposition frappante entre la "morosité" des puritains de Nouvelle-Angleterre et la "gaieté" des colons de Merrymount, mais tous les auteurs du XIXe siècle n'ont pas suivi Hawthorne ou n'ont pas tous été d'accord avec lui sur ce point. Morton et sa colonie continuèrent à être perçus négativement, pour la plupart, même après que l'histoire de Hawthorne eut été republiée dans ses populaires Twice-Told Tales et eut atteint un public plus large en 1837.

Au XXe siècle, cependant, Merrymount et son hôte furent considérés de manière plus ou moins positive, car le point de vue d'Hawthorne était de plus en plus accepté, et au cours des 50 dernières années, cette opinion fut adoptée par un plus grand nombre de chercheurs. L'expert Philip Howard Gray a publié son essai Thomas Morton as America's First Behavioral Observer (in New England 1624-1646) en 1987, démontrant comment Morton avait été négligé par la recherche ou mal représenté dans les textes qui s'appuyaient sur le récit de Bradford, et d'autres ont depuis lors soutenu la même chose. La publication de l'édition savante de New English Canaan par Thomas Morton de "Merrymount" Text & Notes par Jack Dempsey en 2000 a suscité un intérêt accru pour la colonie et son hôte, et cette tendance dans la recherche, ainsi que le changement général vers une vision plus positive de Merrymount, ne fera probablement que se poursuivre.

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Bibliographie

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Traducteur

Babeth Étiève-Cartwright
Babeth s'est consacrée à la traduction après avoir enseigné l'anglais au British Council de Milan. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'italien et a 25 ans d'expérience dans le domaine de l'éducation. Elle aime voyager et découvrir l'histoire et le patrimoine d'autres cultures.

Auteur

Joshua J. Mark
Auteur indépendant et ex-Professeur de Philosophie à temps partiel au Marist College de New York, Joshua J. Mark a vécu en Grèce et en Allemagne, et a voyagé à travers l'Égypte. Il a enseigné l'histoire, l'écriture, la littérature et la philosophie au niveau universitaire.

Citer cette ressource

Style APA

Mark, J. J. (2020, décembre 15). Colonie de Merrymount [Merrymount Colony]. (B. Étiève-Cartwright, Traducteur). World History Encyclopedia. Extrait de https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-19341/colonie-de-merrymount/

Style Chicago

Mark, Joshua J.. "Colonie de Merrymount." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. modifié le décembre 15, 2020. https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-19341/colonie-de-merrymount/.

Style MLA

Mark, Joshua J.. "Colonie de Merrymount." Traduit par Babeth Étiève-Cartwright. World History Encyclopedia. World History Encyclopedia, 15 déc. 2020. Web. 14 oct. 2024.

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